Dans l’Ottawa des années 1950, une enfant s’émerveille au contact des mots. C’est le début d’une passion qui la consumera toute sa vie et qu’elle s’affairera à répandre autour d’elle. De la salle de classe aux ghettos de la Caroline du Sud en passant par l’Europe, l’enfant-feu ira à la rencontre de l’autre, portée par un engagement flamboyant envers la langue française et un besoin viscéral d'agir.
Michèle Vinet livre avec L’enfant-feu un récit romanesque qui convie à l’enchantement.
Dans les médias:
- C’est beau, bien écrit, agréable à lire. [...] Et cet amour de la langue française, on ne peut que le partager avec elle.
Anne Michaud, Radio-Canada.